Vendredi après-midi dernières heures au centre, nous
essayons nos "costumes" de spéléologues:
Rebecca "nage" dans sa combinaison mais elle n'est pas la seule...
C'est parti pour la grotte des Claris. Là, habillés, casqués, bottés, nous descendons dans le trou noir.
Ca glisse, c'est sale, il fait frais.
Nous arrivons devant une "chatière". On entend:
- On va rester coincé!
- J'ai la trouille!
En fin de compte, tout le monde passe en rampant, même Lionel.
Heureusement que l'on a un casque, car on se cogne souvent. On arrive dans une salle sonore. Pendant qu'Alain donne des explications, certains se "maquillent"...
Maintenant on peut ressortir, mais il faut repasser par la chatière. Enfin, tous sains et saufs, à la lumière du jour.
Quelle expédition! On serait bien allé plus loin. Mais ce n'est pas comparable avec la grotte aménagée de Trabuc.
Les lampes à acétylène utilisées en spéléologie
fonctionnent en faisant brûler le gaz produit par la chute goutte-à-goutte d'eau sur des "pierres" de carbure de calcium, et amené jusqu'au bec situé sur le front du casque par un tuyau souple. C'est le moyen le plus efficace de s'éclairer: pour un même poids la lampe au carbure a 3 heures d'autonomie, une lampe électrique à peine une demi.
